Jusqu’au 16 janvier 2011, la Cinémathèque Française vous invite à venir découvrir Brune/Blonde, une exposition Arts et Cinéma. Conçue par Alain Bergala, elle met à l’honneur la représentation de la chevelure féminine au cinéma et à travers les années. Une amie de Melle Blush y est allée et vous livre ses impressions…
Brune ou blonde, un débat historique…
La chevelure féminine a toujours fasciné les cinéastes, grands créateurs d’icônes. À travers les années, ils se sont emparés de la richesse émotionnelle de cette matière pour façonner des modèles féminins dominants, de la femme fatale, brune, à la vamp tentatrice, blonde.
L’exposition retrace, via de nombreux extraits filmographiques, la création de ces mythes de séduction. Les cheveux courts des années 20 (Louise Brooks), les chevelures platinées des années 30 (Jean Harlow), le roux flamboyant des années 40 (Rita Hayworth), les coiffures lâchées de Brigitte Bardot dans les années 50, les coupes androgynes à la Jean Seberg dans les années 60, la blondeur souveraine de Catherine Deneuve dans les années 70 ou enfin les provocations capillaires façon Madone latine de Pénélope Cruz dans Etreintes Brisées, choisie pour illustrer l’affiche de cette exposition.
Un regard sur l’art en général…
Sans forcément être exhaustive, Brune/Blonde va plus loin dans sa rétrospective en proposant d’établir des connexions avec les autres formes d’art qui ont également représenté la beauté et le mystère féminin.
Une exposition qui permet au visiteur de découvrir, en exclusivité dans une petite salle de cinéma conçue pour l’occasion, des courts-métrages inédits réalisés sur le thème Brune/Blonde, par six cinéastes contemporains qui nous livrent leur vision de la chevelure féminine.
Et pour bien apprécier cette exposition, je vous conseille vivement la visite guidée, riche en explications et anecdotes, la meilleure façon d’en apprendre un maximum en 1h30.
La bande-annonce de l’exposition : http://www.cinematheque.fr/fr/expositions-cinema/brune-blonde/bande-annonce.html
Brune ou blonde, un débat historique…
La chevelure féminine a toujours fasciné les cinéastes, grands créateurs d’icônes. À travers les années, ils se sont emparés de la richesse émotionnelle de cette matière pour façonner des modèles féminins dominants, de la femme fatale, brune, à la vamp tentatrice, blonde.
L’exposition retrace, via de nombreux extraits filmographiques, la création de ces mythes de séduction. Les cheveux courts des années 20 (Louise Brooks), les chevelures platinées des années 30 (Jean Harlow), le roux flamboyant des années 40 (Rita Hayworth), les coiffures lâchées de Brigitte Bardot dans les années 50, les coupes androgynes à la Jean Seberg dans les années 60, la blondeur souveraine de Catherine Deneuve dans les années 70 ou enfin les provocations capillaires façon Madone latine de Pénélope Cruz dans Etreintes Brisées, choisie pour illustrer l’affiche de cette exposition.
Un regard sur l’art en général…
Sans forcément être exhaustive, Brune/Blonde va plus loin dans sa rétrospective en proposant d’établir des connexions avec les autres formes d’art qui ont également représenté la beauté et le mystère féminin.
Une exposition qui permet au visiteur de découvrir, en exclusivité dans une petite salle de cinéma conçue pour l’occasion, des courts-métrages inédits réalisés sur le thème Brune/Blonde, par six cinéastes contemporains qui nous livrent leur vision de la chevelure féminine.
Et pour bien apprécier cette exposition, je vous conseille vivement la visite guidée, riche en explications et anecdotes, la meilleure façon d’en apprendre un maximum en 1h30.
La bande-annonce de l’exposition : http://www.cinematheque.fr/fr/expositions-cinema/brune-blonde/bande-annonce.html
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